Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les gens. Elle restait enfermée dans son ateliers, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, adoptant les formules d'avant avec suspicion. Les flacons comportant les accords tristes étaient minitieusement étiquetés et rangés à l’écart, dans une https://richardw046wzb4.blogdanica.com/profile