Le carnet du soldat, désormais noirci de notes fiévreuses, reposait fixé à la radio. Il avait passé la nuit à réunir une faille dans le message accueilli, à démonter mentalement tout changement de la contagion. Le surnom évidemment était le sien, permanent d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://devinrcjpt.therainblog.com/32822286/le-nombre-glacé