L’horlogère retourna dans son usine, la chemise serrée entre ses main. Le tic-tac s’était tu, tels que si l’accident survenu dans la rue avait refroidi son étrange mécanisme. Pourtant, elle sentait que l’objet n’avait toujours pas révélé tous ses mystères. Elle s’installa sous la illumination tamisée d’une lampe à pétrole https://damienrstqn.blogdal.com/34264609/les-heures-qui-traitent